Cette année, les étudiants de deuxième année ont découvert une nouvelle façon d’attribuer leurs sujets de recherche : le pitch inversé.
Le principe ? Inverser la logique habituelle. Plutôt que de choisir un sujet, ce sont les sujets qui “choisissent” les groupes… à condition que ces derniers sachent les convaincre. Chaque groupe a disposé de deux minutes pour défendre sa candidature, mettre en avant ses atouts, son intérêt et sa capacité à donner vie au thème.
Sept sujets ont choisi leur groupe cette année, tous liés à la question du temps dans l’action publique et politique :
• Le débat public : lièvre des diagnostics, tortue des solutions ?
• Le principe de précaution : sagesse fourmi ou immobilisme cigale ?
• À la recherche du temps perdu… en commissions
• Les « horloges sociales » : frein ou moteur du temps politique ?
• La rue comme calendrier politique
• Urgence médiatique, patience politique
• Essai, erreur, action : expérimenter pour accélérer ?
Cette méthode a un double objectif : rendre les étudiants acteurs de leur choix de recherche et les entraîner à l’art de convaincre et de converser.